vendredi 21 janvier 2011 La friperie : un recourt

vendredi 21 janvier 2011

La friperie : un recourt à grande échelle en Rdc

Considérée dans les années passées comme l’habillement de la basse classe, des gagnes petits, la friperie a fini par gagner le cœur des congolais et à s’imposer. On la retrouve partout à la merci et à la portée du petit peuple et même des enfants pourraient s’en procurer.

La crise financière aidant, ainsi que la basse conjoncture, la friperie gagne du terrain au jour le jour dans notre pays. Loin de mettre en péril le job de couturier et styliste, à travers les prêts-à-porter dans des nombreuses boutiques et magasins de mode, au contraire la friperie vient résoudre le problème de gagne petit souvent confronté au problème d’achats de prêts-à-porter dans les magasins et les boutiques où les prêts-à-porter se vendent en monnaie étrangère et un sa référence. Son mérite est que l’on pourrait y trouver des beaux habits que l’on vendrait extrêmement cher dans les boutiques de mode à condition que l’on ait cet œil artistique capable de dénicher les belles modes ci et là.

Dans la mesure où l’on importe tant des choses même démontre importée (chaussure, pantalon, singlet, cravate) même moindre importance, le dessus d’aucuns se demandent si l’on ne pouvait pas limiter ce vaste marché, même en le censurant de manière à contrôler la qualité même du produit pour ne pas donner l’impression d’être une grande poubelle où l’on pouvait tout y déverser même au mépris de normes d’hygiène en vigueur.

L’état devra faire un effort pour améliorer les conditions de vie des citoyens de manière, à s’habiller décevant et même en recourant à grande échelle aux friperies. Car tant que les conditions de pauvreté perdureront, les populations vont recourir à la friperie. Il faudra veiller à sa qualité en limitant d’autres importations. Il y va de l’intérêt de la population congolaise.

Matoko Kambbuba Bernadin